Auteur
: Voltaire
Edition
: Nouveaux classiques illustrés Hachette
Nombre
de pages :
208
Quatrième
:
Chassé
du meilleur des mondes, le malheureux Candide est entraîné malgré
lui dans une succession d'aventures calamiteuses. Il assiste ahuri à
la mort de son rêve, celui d'un monde parfait. L'humanité tout
entière serait-elle donc foncièrement mauvaise? Candide s'étonne,
s'offusque, se lamente... et peu à peu se résigne.
La verve et
l'ironie voltairiennes font merveille: voici un conte à la fois
grave et cocasse, qui soulève avec légèreté des questions
philosophiques fondamentales.
J’ai
lu ce conte philosophique pour le cours de français. Je m’attendais
à quelque chose de pas terrible, et je ne me suis pas trompée. Bien
sûr c’est un grand classique, mais les héros naïfs, je déteste
ça. J’en avais déjà bavé avec « La Chartreuse de Parme »,
et franchement, heureusement que le récit n’était pas très long.
L’histoire tourne trop en rond, il y a des choses qui sont trop
abracadabrantes. Je ne suis pas contre l’irréel, c’est juste
qu’il y a des choses qui dépassent un peu les limites. C’est
assez linéaire : il n’y a presque pas de rebondissements, et
franchement, c’est gros comme une maison, ce qui arrive au héros.
Malheureusement, je n’ai pas aimé.
Ma
note : 10/20
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