J'espère que vous allez bien! Donc voici un nouveau texte intitulé Destin, je crois que j'avais des idées noires :p
Bref je vous laisse lire
Bonne lecture!
Destin....
Je marche sur le podium, éclatante, souriant à pleine dents. Je me dandine et fait la pose pour les photographes. Les flashes m'éblouissent, j'ai la tête qui tourne. De l'extérieur, je suis juste une superbe mannequin, de l'intérieur, je suis ravagée par le chagrin et la souffrance...
C'était un soir de décembre, il neigeait de gros flocons. Le paysage était coloré en blanc. On ne voyait que cela, plus rien ne dépassait. La nature s'était comme endormie. J'avais claqué des dents tellement j'avais froid. Du haut de mes 9 centimètres de tallons, j'essayais à grand peine de vaincre la neige impitoyable et d'arriver chez moi. Ma voiture était restée en bas, la neige était trop épaisse pour y passer et je risquais de faire un accident.
J'avais resserré mon manteau sur ma taille. Je frissonnais. Quelle idée avais-je eu de mettre des talons aiguilles et une robe? J'avançais lentement mais sûrement. Mon poids faisait craqueler la neige sous moi. Mes talons s'enfonçaient sans cesse dans les brindilles situées sous la couche de neige. Le froid me pénétrais de toute part. Mes mains étaient bleues, la neige m'aveuglaient, mes cheveux étaient trempées. Je tremblais de partout. J'essayais de combattre le blizzard à grand peine.
Mon chéri m'attendait installé tranquillement sur un canapé. Du moins c'est ce que je pensais. Je distinguais la villa, qui me faisait office de demeure. Je n'étais plus qu'a quelques mètres. Soupirant de soulagement, je m'étais hâtée. Seulement, un de mes talons cassa et je dégringola, déséquilibrée. Je fut trempée de partout, je ne sentais plus mes fesses ni mes mains. Je me relevais péniblement, et entrepris de continuer mon ascension. Essayant désespérément de ne pas perdre l'équilibre, je ne vis pas la maison et c'est seulement quand je me cognais sur le mur de la façade que je compris.
Je sortis mes clefs et entrepris de la glisser dans la serrure et ainsi ouvrir la porte. Mais je ne pouvais glisser ma clef dans quoi que se soit. La porte avait été défoncée, la serrure avait sautée. Je poussais un hoquet de stupeur, si il était arrivé un malheur à Chris, elle ne s'en serai jamais remise. Tremblante, je poussa la porte et je me faufilais à l'intérieur. J'envoyais valser mes escarpins. Soudain j'entendis un craquement. Je failli mourir de frayeur. Un individu se jeta sur moi, mais plus rapide, je me jetais par terre tandis qu'il valsait dehors. Me relevant rapidement, je me précipitais dans le salon. C'est là que je le vis..
Chris était allongé par terre, disloqué, baignant dans son propre sang. J'avais hurler de douleur. Puis je pm'étais évanouie, ne pouvais résister à la douleur qui s'était faufilée en moi.
Oui pendant que je défilais, le tueur se promenais encore en liberté. Il était peut-être entrain de m'observer. J'avais envie de le tuer, mais peut-être que ce serai moi la prochaine victime....
Depuis ce soir de décembre, Melinda avait retrouvé l'assassin de son mari et l'avait tué de ses propres mains. Elle s'était retrouvée ensuite en prison où elle se suicida...
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N'hésitez pas à commenter pour me donner des conseils :p ♥
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